Il était temps de lire l'un des contes interdits écrit par une femme!
La touche féminine flottant au-dessus de sa plume ajoutait un air rassurant, presque doux à la brutalité de ce récit.
J'ai adoré l'ambiance magique des croyances, des mythes et des traditions tziganes tranchant sévèrement avec celle tristement réelle des réseaux de trafic d'enfants et de jeunes filles gérés par des hommes riches, puissants, sans scrupules et surtout intouchables de par leur statut dans la société.
Quand esprits damnés, chasse à l'homme, meute de loups, mafia et enquête policière s'entremêlent, notre petit chaperon rouge guidé par les voix de l'au-delà grâce au lien spirituel inné qui coule dans ses veines, va se lancer dans une mission vengeresse.
Je me suis attachée à plusieurs personnages dans ce livre, plus particulièrement au protagoniste que je soutenais corps et âme dans ses derniers retranchements, aussi sinistres furent-ils.
Une jeune fille dont la fureur devient contagieuse au fil du récit n'a d'autre choix que de descendre en enfer pour espérer y trouver un jour la paix.
J'ai adoré cette histoire de justicière sensuelle et macabre n'ayant pas peur de se salir, de manipuler et de tromper l'ennemi pour arriver à ses fins.
La seule note qui me laisse un goût amer est de réaliser que ce genre de réseaux de trafic humain existe vraiment, que derrière la fiction se cache une sombre réalité. Même si c'est dur à lire il faut tout de même féliciter l'autrice d'oser dénoncer ces monstruosités qui sévissent dans le plus grand des secrets.
Depuis que j’ai commencé mon blog, Sonia m’a fait confiance plus d’une fois ! c’est toujours un grand honneur pour moi de lire et de chroniquer ses romans ! Elle a une plume extraordinaire et elle nous fait voyager comme personne ! Madame Alain à définitivement une place toute spéciale dans mon cœur ET dans ma bibliothèque !
Cléopâtre m’a toujours énormément passionné, cette femme si belle, si puissante me semblait tellement être hautaine et pourtant… Le roman m’a démontré une autre facette de cette grande reine, car oui elle en était bien une ! C’était une femme avec du caractère, courageuse, intelligente, magnifique et sensuelle ! Malgré qu’elle ait dû quitter son palais, elle reviendra suite a un message qu’elle a reçu et nous verrons toute la détermination qu’elle a afin de sauver son palais et son peuple ! SI je croyais que Cléopâtre était imbue d’elle-même et bien je crois que je me suis grandement trompé, car si elle était telle que Sonia l’a décrite, l’Égypte n’aurait pas pu avoir meilleure reine qu’elle !
Parlons maintenant de sa relation avec le grand Jules César ! L’amour, la haine, c’est clair qu’il se passe quelque chose de chimique entre les deux, mais ou est-ce que cette relation les mènera-t-ils ? Moi-même j’ai eu une drôle de relation avec César tout au long du roman, je ne savais pas trop si je devais l’aimer ou le détester ! A chaque fois que je me l’imaginais, je ne pouvais m’empêcher de voir le Jules César dans Astérix et Obélix 😛
Finalement, est-ce que Cléopâtre réussira à reprendre la place qui lui est due ? La relation qu’elle entretient avec Jules César perdura-t-elle contre vents et marées ? Une chose est certaine, ce roman m’a captivé et tenu en haleine jusqu’à la toute fin. Au travers l’amitié, la confrontation, l’amour et l’action Sonia Alain nous transporte au temps de l’Égypte antique et nous fait une fois de plus découvrir de nouvelles coutumes ! J’espère pouvoir relire un autre roman de la collection les grandes passions de l’histoire, car cela me sort un peu de ma zone de confort et me permet de m’instruire sur les grands personnages de notre monde !
Par Julie Brassard, du magazine culturel Les Rives Littéraires
Le 19 janvier 2021
Avis de lecture :
Je suis une grande admiratrice des romans fantastiques où se côtoie l’action et l’amour. Alors, imaginez un mélange de métamorphes avec des pouvoirs spéciaux, des poursuites intrigantes et de la romance combinée… Mon intérêt était dès lors déjà en extase.
Par chance, Sonia Alain a le chic de nous amener aux portes de cette réalité imaginaire qu’elle laisse miroiter dans son résumé. J’aime quand un livre débute avec une mission bien établie, un danger potentiel pour notre héroïne et un sauveur aux charmes bien campés. Une alliance parfaite qui nous amène à découvrir la puissance des personnages principaux.
Dans ce roman-ci, l’attirance physique entre Abbygaelle et Marcus est la trame principale de notre lecture. On a hâte de découvrir la suite, d’espérer l’union. Mme Alain sait comment nous faire ressentir leur passion dévorante, intense, bouleversante, presque déchirante. J’avoue, j’ai adoré cette partie.
Entre réalité (notes historiques) et rebondissements imaginaires (surnaturels), la magie de l’auteure opère indéniablement. Voilà une belle aventure à suivre si vous êtes friand de descriptions, de légendes, de mythes et de romance à l’eau de rose.
Lors de ma dernière lecture, j’en suis venue à un constat, ce n’est pas à un genre littéraire auquel on doit s’identifier, mais bien à la plume d’un ou une auteure.
Je vous explique, j’étais réticente à lire du fantastique, je n’arrivais que rarement à accrocher à cette catégorie, et bien mon opinion a changé en lisant ce roman écrit par une femme dont j’affectionne particulièrement le travail.
Dès les premières pages, j’ai été envoûtée par les personnages et le rythme de l’histoire.
Accrocheur, envoûtant et mystérieux sont des qualificatifs qui s’apparentent à cette œuvre, laissez-vous donc obnubiler par ce récit qui vous tiendra captif du début à la fin.
Encore une fois, me voilà de nouveau plonger au cœur de l’univers imaginatif de l’auteure. En soi, c’est toujours un plaisir de retrouver sa calligraphie et tout ces détails qu’elle parvient à pondre. Lorsque j’ai vu que l’écrivaine avait reçu ses propres romans, je n’ai pas pu m’empêcher d’écrire à quel point j’étais impatiente d’avoir ce récit entre mes mains et en quoi j’admirais cette femme de l’époque. Honnêtement, il ne faut pas chercher loin. Du Sonia Alain. Un des plus beaux pays arabes. Et une personne d’exception. Je dis oui tout de suite.
LA RÉALITÉ ÉCRITE DE MANIÈRE FICTIVE…
Pour ceux et celles qui me connaissent savent que j’ai un (GROS) penchant pour l’Égypte. Ces sculptures, les pyramides, monuments, rites de divination et religieux… Tout cela ne forme qu’un tout. Concernant « Cléopâtre », un des récits de la saga « Les grandes passions de l’histoire », il a été encore possible de percevoir le sens de la recherche de Sonia Alain. En effet, avant chacun de ses romans, elle part à la conquête de son sujet afin de mieux l’exploiter tout en introduisant des détails de son propre cru. Il y a plusieurs éléments qui sont le reflet de la vérité, comme ce qu’il s’est déroulé à Alexandrie, et d’autres qui ne le sont pas, tel que certains rituels. Dans tous les cas, j’ai été plus que contente de retrouver cette passionnante matière. J’avais l’impression de retourner en arrière et d’assister en personne à toutes ces batailles et événements.
Dans ce livre de « Les grandes passions de l’histoire », on fait la connaissance de Cléopâtre, cette reine déchue qui a dû fuir son palais et son trône afin d’échapper à toutes ces menaces de mort qui pèsent sans cesse sur sa tête. Ne pouvant faire confiance aux membres de sa famille et à son époux (qui est aussi son frère) et aux nombreux conseillers, la jeune femme s’enfuit au cœur du désert de l’Égypte, accompagné de son garde du corps, de ses servantes et quelques mercenaires de confiance. Ainsi, lorsque Cléopâtre reçoit un missive urgent concernant l’arrivée de Jules César dans la ville d’Alexandrie, la jeune femme comprend qu’elle n’a pas d’autre choix que de revenir en ces lieux maudits. Afin de se protéger tout en essayant d’accéder à la demande de César, Cléopâtre conçoit, à l’aide des individus dont elle a entièrement confiance, un plan dont les risques ne sont pas inexistants.
Dès son arrivée, la jeune femme se retrouve en face de Jules César et ne peut s’empêcher de ressentir une forte attirance pour cet homme à l’allure virile. Malheureusement, son retour signifie aussi le scellement de son sort. Au centre de toutes ces tactiques de guerre sanglante, César parviendra-t-il à protéger Cléopâtre ? Cette relation naissante entre les deux survivra-t-elle à tous ces événements ? Prendra-t-il le risque de la mettre en danger afin d’acquérir plus de pouvoir ? Et si dès le commencement, Cléopâtre et César était damné à payer le prix de leur amour ?
DEUX PERSONNAGES À FORTES PERSONNALITÉES…
La romance entre César et Cléopâtre est séduisante et à la fois piquante. Leurs échanges verbaux et physiques sont sensuels et rempli d’amour. Relativement aux interlocuteurs principaux, j’ai trouvé que Cléopâtre était une femme de pouvoir pourvu d’un tempérament de lionne et dont la générosité est à la hauteur de son pays. Malgré le fait qu’elle n’ait pas eu un simple cheminement, Cléopâtre parvient tout de même à garder ses propres valeurs et idéaux en tête. Étant une vraie guerrière, cette reine est prête à tout pour assurer la prospérité et de son peuple tout comme de reconquérir ce trône qui lui revient de droit. Je ne sais pas comment vous dire cela, mais je RAFFOLE des femmes qui ne se laisse pas faire. Elles mettent beaucoup d’extra de jalapenos à l’histoire. Rire. Et c’est ce que j’aime avec les écrits de Sonia Alain, les héroïnes qu’elle crée ne sont jamais grise et filtreuse.
Quant à César, en dépit de ses cinquante-deux ans (et ouiiiii, vous ne savez pas à quel point, j’ai été plus que surprise), il dégage une aura prestigieuse qui illustre parfaitement sa contenance tout comme son expérience en matière de bataille. À de nombreuses occasions, j’ai douté de lui, j’espérais secrètement qu’il ferait tout ce qu’il pouvait pour rester aux côtés de sa reine égyptienne. J’étais à deux doigts de lui fermer mon cœur… À première vue, accorder ma confiance à cet inconnu n’était pas facile, c’est au fil des pages que j’ai appris à connaître ce romain au destin épique. Alors, plus d’une fois, César a posé des gestes qui démontrait qu’il apportait son soutien à Cléopâtre, toutefois, lorsque je croyais que tout allait entre eux, quelque chose faisait en sorte que ces deux-là se confronte et remette tout en question.
Au niveau de la plume d’écriture de Sonia Alain, elle est addictive et coulante. Tout comme ses livres précédents, celui-ci se bouquine facilement. On se laisse embarquer dans cette aventure où l’amour, l’amitié, l’action et la mort s’entrelacent ensemble. À travers ses mots, l’auteure m’a fait voyager au sein de l’Égypte antique. J’ai adoré découvrir cette version de l’époque. Ainsi, par le biais de ces pages, j’ai pu en apprendre plus sur César et Cléopâtre.
Lors de ma lecture, j’avais également la sensation de revenir au moment où je faisais mon exposé oral sur Cléopâtre, soit en secondaire 2. Au fil de mes recherches, j’ai appris à aimer cette femme qui a tout sacrifié pour sauver, avant toute chose, son peuple et le bien-être de son pays, au risque d’y sacrifier sa vie et son amour.
Un dernier mot ?
En somme, « Cléopâtre » est une romance historique qui m’a captivé et toute aussi impressionnée. Sonia Alain nous transporte à une époque où les coutumes et les façons de vivre étaient différentes. Une héroïne munie d’une force incroyable et d’une beauté sans norme, qui d’un seul regard parvient à mettre tous les hommes à genoux. Une conclusion qui m’a plus qu’étonné. Lors de ma lecture, j’ai eu la chance d’en apprendre plus et toujours plus sur la vie de César et sur celle de Cléopâtre. Un style d’écriture prenant et agréable dont je ne pourrai me lasser. Si j’avais à le relire une seconde fois, je le ferais sans exception, car pour moi partir à la conquête de l’Égypte, de Jules César et de Cléopâtre a été un véritable plaisir. Il va de soi que je vous conseille ce roman sur « Les grandes passions de l’histoire », j’espère que cette lecture vous plaira autant qu’elle m’a plu.
Dans l’ensemble « Quand tout bascule » est une bonne lecture. Une histoire d’amour compliquée (et pas juste un peu), du suspense sans modération, des péripéties aventureuses à en faire peur plus d’un, des protagonistes fascinants et tout aussi détestables… Quoi demander de plus ?
UN RETOUR À L’HISTOIRE…
En toute franchise, ce roman a tous les ingrédients essentiels pour plaire à tout le monde. Sans compter que le côté historique est vraiment intéressant à découvrir. L’auteure ne cesse de me replonger dans mes cours d’histoire au secondaire et je dois dire que cela me fait plaisir de retrouver cette flamme. Cette envie de voir plus et toujours plus sur les anciennes personnalités de l’époque. À chaque fois que je me plonge dans un des écrits de Sonia Alain, où le contexte réel est mis en avant, je retourne toujours en arrière, au moment où j’assistais à mes classes. Et je ne vous cacherai pas que J’ADORE cette sensation !
Dans le premier tome de « D’amour et de haine », on fait la connaissance d’Adélaïde, une jeune femme âgée dans la vingtaine, qui après avoir été victime de manipulations de la part d’un homme, doit fuir les terres anglaises pour ainsi s’envoler vers Québec. Afin de se faire oublier de tous, Adélaïde a pris la décision de prendre le nom de famille de sa mère et de rester durant quelques années chez son oncle et sa tante. Toutefois, il est maintenant de rentrer chez elle. Alors qu’elle se retrouve sur l’Empress of Ireland, celui-ci fait naufrage tout près de Rimouski. Ne voulant pas mourir, la jeune femme essaie par tous les moyens de s’accrocher à la vie… Quand Adélaïde se trouve de nouveau à l’article de la mort, celle-ci est sauvé de justesse par un homme.
Se sentant en sécurité et entouré dans les bras de celui désire ardemment la réchauffer, Adélaïde ne peut que se laisser aller à tant de tendresse. N’étant pas consciente, cet individu n’hésite pas à prendre soin d’elle jusqu’à ce qu’ils retrouvent la terre ferme. À la suite de ce drame, la jeune femme a été emmené chez Elsie Redford, une amie proche de sa tante. Ainsi, les jours passent et Aidan n’a toujours pas oublier la fragilité et sensibilité de cette femme qui l’a marqué au plus profond de son cœur. Ne pouvant pas la faire sortir de sa tête, il met tout en œuvre pour la revoir, mais sans succès, jusqu’à… ce que lors d’un dîner chez les Redford, Adélaïde et Aidan tombent l’un sur l’autre.
Dans ces conditions, peuvent-ils laisser leur émotion respective prendre le contrôle de leur esprit, sachant que l’un et l’autre doivent absolument dissimuler leur propre antécédant. Quand un homme du passé d’Adélaïde revient dans son quotidien pour y défaire tous les efforts qu’elle a entreprit pour se reforger, Aidan va prendre une décision sur un coup de tête qui changera leur existence à tout les deux.
UNE RÉEVISITE DE L’HIVER QUÉBÉCOIS ET DES AUTOCHTONES…
Une chose est certaine, c’est qu’à chaque fois que je bouquine un des livres de Sonia Alain, qui se déroule au Québec, je me retrouve plonger au cœur de la culture amérindienne. Et ce n’est pas pour me déplaire, j’ai toujours aimé cette partie de l’histoire québécoise. Sans parler des longs froids de la saison hivernale… Dans « Quand tout bascule », l’hiver ne ressemble pas vraiment à celui que nous avons aujourd’hui. Il faut dire aussi qu’il n’avait pas la vie facile à l’époque. Pas de technologie, aucune voiture ou autre instrument pour dégager la neige du chemin. Rire.
Concernant la plume d’écriture de Sonia Alain, elle est addictive et à la fois ensorcelante. Personnellement, il m’est impossible de m’en détacher les yeux. La trame est présente dès les premières pages et les rebondissements s’enchaînent les uns après les autres, sans nous laisser un temps de répit. Pour ce premier tome, l’écrivaine pose les bases et les concepts importants tout en exploitant la toile du fond et en malmenant les sentiments du couple central. Sans aucun doute, l’environnement et les coups de théâtre sont décrit avec réalisme et avec une excellente fluidité.
Réputé pour ses nombreuses recherches, Sonia Alain parvient avec brio à nous illustrer les descriptions géographiques et historiques de cette province, qu’est le Québec. En plus, j’ai vraiment aimé découvrir le traumatisme de l’héroïne, surtout au niveau des séquelles, que ce terrible événement a laissé sur l’état mental de la jeune femme, et son évolution psychologique. En effet, malgré ce qui lui est arrivé, Adélaïde n’a pas délaissé son tempérament de feu, ce qui peut être un véritable choc, lorsqu’elle se confronte à Aidan qui n’a également pas sa langue dans sa poche.
Un dernier mot ?
En conclusion, « Quand tout bascule » est une romance historique tout à fait captivante dont les scènes sensuelles et les obstacles dangereuses se mélangent bien. Une calligraphie qui ne me lasse jamais. Une narration qui nous permet de connaître les pensées les plus intimes d’Adélaïde et d’Aidan. Évidemment, j’ai adoré tout le contenu. Du début jusqu’à la dernière page. Loin d’être une histoire à l’eau rose, le premier tome de « D’amour et de haine » se caractérise par ses vibrants interlocuteurs, des rebondissements tout aussi surprenants que redoutables et de poignantes émotions. Il va de soi que je vous conseille « Quand tout bascule », j’espère qu’il vous plaira autant qu’il m’a plu.
Cela faisait déjà plusieurs mois que ces livres prenaient la poussière dans ma bibliothèque. Après avoir entamé le deuxième volet, je me suis demandé pourquoi j'avais attendu aussi longtemps. Bourrés d'action et de romance avec des rapports amour-haine assez prononcés, ces romans sont addictifs. Dans cette série, l'auteure nous fait énormément voyager tout en gardant nos émotions à fleur de peau. Son personnage principal, Adélaïde, n'évolue pas dans la ouate, bien au contraire. Elle est exposée au deuil, plus d'une fois, ainsi qu'à maints dangers desquels elle subira plusieurs blessures physiques, mais aussi psychologiques, qui la marqueront à jamais.
Dans le second roman, c'est en Afrique que se déroule le récit. Cela fut rafraîchissant de rencontrer des gens d'une autre nationalité, qui ont des mœurs différentes des nôtres. Adélaïde s'épanouit à leur contact, et c'est une pause bien méritée! Sa force de caractère et sa résilience sont incroyables. Elle fait partie de mes héroïnes livresques préférées. L'immensité de son cœur, sa générosité, sa façon de percevoir le monde et d'affronter les aléas de la vie font d'elle une grande dame.
Le troisième fut mon roman favori de la série. En plein cœur de la guerre, sur le front et dans les tranchées, ces moments m'ont touchée, transpercée et émue. Adélaïde est confrontée directement aux dégâts de la guerre en tant qu'infirmière: blessures atroces, morts, angoisse... Elle peine à garder la tête froide. Et Aidan? Il est en plein centre de l'action avec d'autres soldats à ses côtés, à se battre tout en espérant rester en vie. Un tome déchirant et tellement bouleversant. Et, au travers de toute cette noirceur, de beaux liens se forment: des relations amicales et familiales si émouvantes.
Tout comme Adélaïde, j'en suis venue à aimer et à détester Aidan en alternance. À ne plus savoir si je préférais qu'ils terminent ensemble, ou pas! Finalement, est-ce que la conclusion me plaît? Absolument! Romance, histoire et suspense: un mélange qui a su être explosif et captivant grâce à la plume de Sonia Alain.
De la même série:
D'amour et de haine, tome 1, Quand tout bascule: X