La Dame de Knox, trilogie de Sonia Alain
Mon avis T1 :
Une plongée romantique au cœur du Moyen Âge cruel et superstitieux. Sonia nous verse du café noir sans sucre. Et pourtant la saveur n’en est que plus douce. Je suis une grande lectrice de romance historique et ce roman m’a fait vibrer et rêver. Certains diront que certains passages sont « durs » ou « cruels », mais de l’eau est de l’eau, c’est-à-dire : fade et sans goût. Et l’eau bénite possède ce petit plus qui nous fait croire aux miracles !
Sonia manie l’historique et le contemporain avec brio.
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Mon avis T2 :
Si fragile et si courageuse Anne. Au cœur de la tourmente, elle affronte la violence qui fait rage dans cette sombre période de l’histoire de France.
Une suite attendue et qui tient ses promesses. Tremblez, riez ou pleurez avec notre héroïne. Sonia nous plonge à vif dans ses aventures et c’est à bout de souffle que nous refermons les dernières pages.
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Mon avis T3 :
Le dernier tome de la trilogie continue de nous faire vibrer au récit des aventures de la famille Knox. Contrainte de suivre son mari dans des contrées lointaines et hostiles, Anne trouvera le courage d’affronter tous les dangers afin de protéger les siens.
Son caractère s’affirme au fil des pages et elle donnera du fil à retordre à un mari aimant, mais peu enclin à comprendre les femmes.
Tout au long de la trilogie, Sonia nous a tenus en haleine et dans ce dernier opus, elle joué avec nos nerfs jusqu’à la dernière page. Anne de Knox a réussi à conquérir Joffrey, mais aussi tout un lectorat.
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Sonia Alain est née à Matane au Québec (Canada). À l’âge de 12 ans, elle habite pendant quelques mois au Cameroun en Afrique avec ses parents.
Elle a obtenu un certificat d’éducation en milieu de garde à l’Université du Québec à Montréal. Certificat en main, elle a été pendant plusieurs années éducatrice dans un Centre de la Petite Enfance, puis chargée de cours au Collège Édouard-Montpetit, et finalement formatrice.
Elle est auteure à temps plein, et donne des conférences dans les bibliothèques sur des sujets qui sont en lien avec ses romans. Elle est également chroniqueuse littéraire pour différents médias.
En 2011, son roman « Le masque du gerfaut » a été parmi les finalistes pour le prix du premier roman francophone lors du Festival de Chambéry-Savoie en France.